Plusieurs termes sont actuellement utilisés pour décrire les nouveaux modes de transport écologiques qui apparaissent dans les villes, notamment la mobilité douce, l’éco-mobilité et la mobilité durable.

Afin de protéger l’environnement, il est important d’employer des formes alternatives de transport qui réduiront de nombreux types de pollution (notamment la pollution atmosphérique et la pollution sonore).

Après la voiture et les transports publics, le transport durable devient de plus en plus populaire comme moyen de transport pour les déplacements quotidiens (comme se rendre au travail depuis son domicile ou à l’école). À mesure qu’elle gagne en popularité et qu’elle est mieux comprise, cette idée se démocratise.

De plus en plus de personnes y étant sensibilisées, cette idée gagne en popularité et en dynamisme. Dans sa définition la plus large, le terme « mobilité douce » fait référence à la fois à des modes de transport sans énergie qui ne nécessitent qu’un effort physique de la part de l’utilisateur et à des formes de transport plus écologiquement responsables comme les voitures électriques.

Où la mobilité douce est le plus développée ?

Il existe des différences entre les valeurs attachées à cette idée dans les différentes régions d’Europe. Comme à Amsterdam, aux Pays-Bas, plus de 35 % des habitants de Copenhague, au Danemark, se rendent chaque jour au travail en bicyclette. Cependant, l’usage de la bicyclette ne s’est pas encore démocratisé et ce n’est pas une pratique que beaucoup de gens ont à Rome ou à Madrid.

Si vous entendez parler de mobilité douce, c’est parce que la planète a pris conscience que nos habitudes de déplacements nous mettaient en péril. Comme vous le lirez sur mobilitedouce.fr, par mobilité douce, on entend l’ensemble des déplacements non motorisés ainsi que l’utilisation de moyens de transport non polluants et silencieux.

Ici vous retrouverez :

  • la marche à pied, le vélo, la trottinette
  • le gyropode, parmi les équipements à la mode
  • les véhicules électriques.

Mobilité douce : pourquoi préférer marcher ou pédaler?

Une étude a démontré qu’une fois sur deux, nous prenions la voiture pour faire des trajets de moins de 3 kms. Pire encore : dans 15% des cas, c’est pour faire moins de 500 mètres. Sauf que pendant ce temps-là, la voiture émet des gaz d’échappement.

En décidant de pédaler ou de marcher, non seulement vous pensez à la planète mais aussi à votre propre santé. En effet, l’activité physique prévient les maladies cardio-vasculaires, le stress et la surcharge pondérale. Par contre, si vous prenez le vélo, il faudra faire attention à vous. Pour votre sécurité, mettez toujours un casque. Un gilet phosphorescent sera également le bienvenu.

Pourquoi opter pour la mobilité douce ?

Il est logique de développer le transport durable si l’on considère les enjeux économiques, sociaux et environnementaux :

  • réduction des coûts liés aux déplacements professionnels et aux déplacements domicile-travail
  • amélioration du confort et de la gestion du temps pour améliorer les conditions de travail et de déplacement. De plus, en conversant sur le sujet en temps réel ou sur les médias sociaux, l’adoption d’un mode de transport à mobilité douce sert de vecteur de lien social.